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 L'eau: une lueur d'espoir

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Cassidi

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MessageSujet: L'eau: une lueur d'espoir   L'eau: une lueur d'espoir EmptyVen 30 Oct - 12:17

Prologue: La naissance d’un monde et du mal.


Il y a très longtemps quand l’univers n’était qu’un néant d’étoile, un endroit vide, froid et sombre. Quand l’univers ne connaissait que les météorites et les planètes gazeuses. Un jour quatre sphères de couleur différente sont apparues donnant naissance à quatre esprits qui vont changer le destin de cet univers vide. Quatre esprits représentant les quatre éléments vont changer pour toujours la vie éternelle de cet univers.
Fire l’esprit du feu, Water l’esprit de l’eau, Windi l’esprit de l’air et Earth l’esprit de la terre. Ces quatre esprits vivaient dans l’espace, dans une partie ou endroit de l’espace que chaque esprit aimait. Fire, étant le feu, préférant les endroits chauds, vivait dans le noyau du soleil. Water, étant l’eau préférait les endroits froid et humide, il habitait sur les comètes qui elles étaient et son toujours composé de 80% d’eau. Earth, étant la terre, elle préférai les endroit dur et ferme, elle habitait dans les champs d’astéroïdes. Windi, étant l’air, elle préférait les endroit sans sol et détestait rester toute sa vie éternelle dans le même endroit. Windi avait pas d’habita, elle voyageait dans tout l’espace a la découverte de d’autre forme de vie mais rien. Submergé par la tristesse et la solitude, l’esprit de l’air créa une sorte de sphère remplie d’air et plongea dans un profond sommeil.
Plusieurs milliers d’année s’écoulèrent depuis la naissance des esprits mais rien n’a changé tout est rester aussi vide et morne. Mais un jour, Earth rêva d’une planète solide où des être vivant vivraient en harmonie. Un endroit où le feu représente la vie, que l’air signifie rêve, que l’eau signifie douceur et soin et que la terre représente la force et la mère nourricière. Earth n’était pas la seule à rêver d’un monde, les trois autres esprits rêvèrent eux aussi de ce monde. Ils décidèrent de réunir leur force pour créer une planète. Fire créa une énorme boule de feu pour maintenir la planète à température ambiante. Earth créa une croûte terrestre pour que les êtres vivants puissent marcher. Water créa les mers, les lacs et les océans pour que les habitants de l’eau puissent vivre et manger. Windi créa une atmosphère et mélangea plusieurs gaz pour crée l’air. Pangée est née. La planète finie, les esprits commencèrent à la remplir. Quatre continent fut crée à l’image des quatre esprits. Fire créa trois îles volcaniques. Les premiers habitant de ces îles fut de grand dragon rouge et noir. Le climat hostile des trois îles ne favorisait pas l’agriculture c’est pour sa que dans chaque une des trois îles il y avait un lacs. Water glaça une grande partie du pôle nord, les principaux habitant était des pingouins et des ours blanc. Personne ne pouvait vivre dans se froid glaciale, dans un continent glacé où il y a que deux saison: L’été et l’hiver. C’est pour cela qu’il créa un autre continent qui se trouve au pôle sud. Un continent fait de terre où la végétation pouvait pousser mais le trois quart du temps cette terre est enneigée.
Earth créa un super continent, un continent fait de montagne, de forêt et de plaine. Ce super continent possède une terre riche en minéraux. Les premiers habitant de se continent fut le peuple des elfes. Windi Créa un archipel d’une centaine d’île montagneuse. La plus grande montagne était le mont Ministorie, la hauteur moyenne d’une montagne dans cet archipel était de 6 000 mètres. Les premiers habitants furent des griffons.
Des années, des siècles s’écoulèrent et les habitants de Pangée vivent en harmonie dans leurs pays, leur élément. Mais les esprits remarquèrent que quelque chose avait changé ou plutôt que quelque chose avait apparue sous leurs yeux. Des bipèdes ressemblant un peut au elfes mais ces êtres n’était pas parfait et n’avait pas les oreilles pointues: des êtres humains. Ces être avait commencé a peuplé le continent de la terre, a y vivre, a y cultiver et bâtir des villes. Certains de ces êtres avaient migré vers le pôle nord et le pôle sud. Ces êtres chassaient les ours blancs, les focs et les pingouins pour leur peau et leurs viandes. Avec les peaux ils faisaient des vêtements et des canoës. Pour construire des habitas ils utilisaient la neige et le bois pour ceux du pôle Sud et ceux du pôle Nord la glace. D’autre avait atterrie sur les trois îles du feu. Les volcans rendaient la vie extrêmement difficile à ces êtres. Pour se protéger des éruptions volcanique devenue de mois en moins fréquente par le temps, il avaient construis une ville flottante sur les lacs et deux ou trois autres ville flottante sur la mer. La terre des trois îles du feu n’était pas fertile, les êtres en observant bien la nature remarquèrent que les cendres du volcan augmentaient la vitesse de régénération des forêts. Ils utilisèrent les cendres volcaniques pour leur culture. Le reste de ces êtres habitèrent dans l’archipel de l’air. Il est presque impossible de circuler des ces îles montagneuse mais les êtres humains résolurent le problème. Pour joindre les îles, ils construisirent des ponts en hauteur ou sur la mer. Ils construisirent leur habita dessus et dans les montagnes. Pour aller dans les autres îles de l’archipel, ils avaient des pont mais un jour un inventeur créa une machine a voler: un planeur fait de toile et de bâton. L’homme vole. Les esprits, étonnés par l’intelligence et la capacité d’adaptation des êtres humains leur firent un cadeau. Les esprits donnèrent à certaine personne la maîtrise d’un élément. Fire donna le savoir de la maîtrise du feu au peuple des trois îles du feu. Wateur, la maîtrise de l’eau au deux peuple jumelle de l’eau. Earth, la maîtrise de la terre au peuple du pays de la terre. Et enfin Windi, la maîtrise de l’air au peuple nomade des archipels de l’air. Ces personnes qui maîtrisent les éléments s’appellent des maîtres ou les fils et les filles de l’eau, du feu, de la terre ou de l’air. On ne peut pas reconnaître au premier coup d’œil un maître il faut d’abord le voir a l’œuvre.
Les maîtres du feu sont des être impulsif qui on du mal à retenir leur sentiment surtout le celui de la colère. Les maîtres du feu maîtrise cet élément par l’énergie projeté par exemple par un coup de point ou en le crachant. Pour les plus puissant rien qu’un simple geste leur suffi pour jeter un simple jet de flamme. Le maître du feu ne maîtrise pas l’élément mais il est plutôt sont guilde. Que les grands maîtres du feu arrive à maîtriser cet élément indomptable mais très peut y arrive. La maîtrise du feu est la plus puissante que quand il fait jours et que quand le soleil y est présent.
Les maîtres de l’eau sont des êtres calmes, leur mouvement ressemble beaucoup au mouvement de l’eau. Ces maîtres peuvent décider si il doit blesser ou guérir une personne. Les maîtres de l’eau maîtrise cet élément en reproduisant les mouvements de l‘élément. Ils peuvent aussi extraire l’eau d’un être vivant comme une fleur. La maîtrise de l’eau est la plus puissante la nuit car la lune est le premier maître de l’eau, c’est la lune qui crée les marrée. Les maîtres de l’eau sont capable de contrôler a leur guise le corps d’un être humain grâce au sang de celui-ci, on les appellent des maîtres du sang. Malheureusement ils peuvent manipuler le sang que pendant les nuits de pleine lune.
Les maîtres de la terre sont des êtres robuste, indépendant et très persévérant. Les maîtres de la terre ne connaissent pas la signification du mot « aveugle » car ils peuvent voir grâce aux vibrations de la terre. Grâce a cette capacité, ils peuvent voir à travers les murs, apercevoir des objets cachés et voir des choses microscopiques. Les maîtres de la terre doivent imiter l’élément pour pouvoir la maîtriser. Ils doivent êtres solides et donner des coups puissants et secs pour pouvoir faire bouger des rocher dix fois plus gros qu’eux. Certains maîtres peuvent manipuler le métal mais ils sont rare ceux qui y parviennent.
Les maîtres de l’air sont des êtres large d’esprit et libre, ils aiment voyager, découvrir d’autre contrée et d’autre culture. Les maîtres de l’air sont des personnes très légères mais il y a que les filles qui ont la capacité de voler. Les fils de l’air, pour voler sont obliger d’utiliser un planeur spéciale qui leur permettent de contrôler les courant d’air chaud et froid. Les maîtres de l’aire maîtrise cet élément par l’intermédiaire d’un éventail ou par leur souffle. Ces êtres simple ne se batte jamais par vengeance ou par la colère. Les maîtres de l’air sont un peuple pacifique.
Les esprits attendirent des maîtres qu’ils tiennent l’équilibre entre les éléments mais le peuple du feu avide de pouvoir essayèrent de conquérir les autres peuples. Le peuple du feu avait un rêve, que cette élément soit le seul élément existant sur Pangée. Cette guerre entre le peuple du feu et les autres peuples durèrent jusqu’à l’intervention des quatre esprits.
Cent ans après cette guerre, un couple formée d’une fille de la terre et d’un fils du feu donna naissance à un bébé mais pas n’importe quel bébé.
Un garçon qui avait le pouvoir de maîtriser les quatre élément: l’être de puissance. Malheureusement, cet enfant n’agira jamais pour le bien, sa naissance attira la curiosité d’un moine du peuple du feu. Ce moine ayant grandi dans les idée de pendant la guerre, tua les parents de l’enfant et le kidnappa. La jeunesse de l’enfant fut baignée par l’idéologie du peuple du feu pendant la guerre. L’enfant ne connaît que les mots pouvoir et destruction. Quand il eu atteint ses dix-huit ans, il tua le moine et parti sur une île inhabité à côté du pôle sud pour médité sur un plan de conquête. Deux ans s’écoulèrent avant qu’il met en œuvre son plan machiavélique qui en premier temps était d’emprisonner les quatre esprits. Il chercha, trouva, combattue et emprisonna un par un les esprits, tous? Non, Earth réussi a lui échappé en prenant une forme humaine. La deuxième phase de son plan est de tuer tous les maîtres pour être la seule à maîtriser les éléments. Une deuxième grande guerre éclata entre l’être de puissance avec son armée et tout les peuples. Les peuples de la terre, du feu, de l’eau et de l’air perdirent cette guerre. Ils essayèrent désespérément d’appeler les esprits mais ils ne savaient pas que l’être de puissance les avait capturé.
Earth regarda impuissante les maîtres se faire décimer par l’armé de l’être de puissance. Elle aurait tellement voulue les aider mais elle n’était pas de taille face à cet être qui avait une maîtrise parfaite des quatre éléments. L’esprit de la terre se cacha dans les entrailles du pays de la terre. Quand l’être de puissance réussi a faire plié tout les peuples a son commandement il créa une sorte de chasse au sorcière. Les sorcières étaient les maîtres qui ceci était obligé de se cacher ou de plus utiliser leur maîtrise pour ne pas être tué. Les seuls maîtres qui existe encor en grand nombre sont les fils et filles de l’air du nord. Ceux du sud on tous était tuer car eux il n’avait pas le brouillard pour les cacher, sauf une île du nom de NiWang résistait encor a l‘envahisseur. Leur voisin du nord, eux sont cachés par un brouillard très épais et qui reste toute l’année.
Les habitant des quatre peuple prièrent encor les esprits mais beaucoup d’entre eux on arrêter d’y croire. Beaucoup de ces personnes se disent que les esprits les ont laissé tombé mais d’autre pense que les esprits n’ont jamais existé.
Dix ans s’écoulèrent après la victoire de l’être de puissance, un soir une fille de l’aire rêva de l’esprit de l’air. Windi lui dit qu’ils étaient toujours la qu’ils on entendu leur demande d’aide mais elle dit que c’était eux les esprits qui avait besoin de l’aide des habitants des quatre peuples.
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Cassidi

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MessageSujet: Chapitre 1   L'eau: une lueur d'espoir EmptyVen 30 Oct - 12:29

Chapitre 1: Destruction.


L’atmosphère était agréable, il ne faisait ni trop chaud ni trop froid. L’aire pure et fraîche emportait les nuages cotonneux et la brume blanche. Les montagnes ensevelies sous la brume rendaient ce paysage dangereux et relaxant. Une fille aux longs cheveux lisses et noirs titillait les nuages. Cette fille fine virevoltait, plongeait, faisait des looping dans le ciel. C’était une fille de l’air. Elle se posait au sommet d’une montagne et explorait ce lieu. Une vague de brume engouffra entièrement la montagne rendant la vision de cette jeune fille impossible. Elle marchait en aveugle, les bras tendus pour intercepter un obstacle. Le vent souffla en dégagent une bonne partie de la brume, elle ouvra les yeux. Devant elle se tenait une silhouette cachée par la brume. Elle s’avança pour mieux voir l’être qui se tenait devant elle. Plus elle avançait plus le visage de l’être devenait moins flou. Quand elle se trouva juste devant l’être elle reconnue qui s’était. C’était une personne puissante et divine, une personne que tout le monde croyait disparue.
Malheureusement tout sa n’était qu’un rêve.


NiWang, l’île la plus renommée de la partie sud de l’archipel de l’air. Dans cette île se trouvait la plus grande école de maître de l’air.
C’était aussi la où se trouvait les plus grands maîtres de l’air.
L’école de l’air se trouvait au sommet du mont des rêves.
Au dessus du toit de l’école, un jeune fils de l’air se concentrait avant son tout premier saut dans les airs.
* Maître Lin est encore en retard, mais elle le fait exprès ou tout simplement elle pense que je suis capable de sauter sans son aide * pensa-t-il.
Mélo avait 8 ans et c’était à cet âge que les jeunes fils de l’air recevaient leur planeur.
Le jeune maître de l’air déplia son planeur orange, se mis en place, respira un bon coup, ferma les yeux et sauta.
Tout se passèrent très vite, l’école défila sous ses yeux à une vitesse dépassant presque le mur du son. Tout les villageois de l’île regardaient le jeune fils de l’air descendre le long du mont des rêves.
Il lui restait plus que vingt mètres avant de pouvoir reprendre de l’altitude.
Il ferma les yeux pour ce concentrer mais la peur l’envahie.
* Je n’y arrive pas, je vais m’écraser comme une pierre du mont des rêves * pensa-t-il en laissant une larme couler le long de sa joue.
Tout les villageois regardèrent pétrifier la descente du jeune Mélo.
Tous les yeux regardaient vers le haut, certains regardaient autre part dans les airs pour voir si une personne viendrait à l’aide du jeune fils de l’air.
Il avait plus un bruit en bas de la montagne.
Soudain, un courant d’air fit reprendre de l’altitude à Mélo.
Tout les villageois poussèrent des cris de soulagement puis ils applaudirent.
Le jeune maître de l’air n’en croyait pas ses yeux, il allait s’écraser mais au dernier moment il avait réussi à remonter, enfin c’était se qu’il croyait.
Arrivait bien au dessus de l’école, il s’abandonna à l’air. Il se laissa guider par le vent, pour lui c’était un mouvement de rêverie. Il commença à faire des loopings, tourner autour des nuages. Donner a ceux-ci des forme diverse, il était libre de tout les soucis du monde. Soudain le vent commença à souffler fort puis un courant d’air violent se dirigeait vers Mélo. Le jeune fils de l’air se concentra sur le courant puis grâce à son éventail dévia la trajectoire du courant d’air.
-Très bien mon chère disciple. Lui dit une voix féminine et familière.
Il regarda derrière lui. Derrière volait une adolescente aux longs cheveux noirs et lisses.
-Maître Lin! C’est…
-Oui c’est moi qui ta sauvé ou plus tôt donné un petit coup de main.
Mélo regarda son maître tristement.
-Je ne suis qu’un incapable, vous auriez du me laisser écrabouiller comme une pierre.
Lin regarda son disciple gravement.
-Tu n’es pas un incapable et c’est mon devoir de te protéger de n’importe quel danger.
-Oui maître.
-Vas y, rejette toi dans le vide.
Mélo dégluti puis lança un regard plus confiant à son maître. Il regarda une bonne minute en dessous de lui puis replongea.
Tout les villageois fussent surpris de revoir le jeune maître de l’air replonger.
Mélo se concentra, ferma les yeux puis senti l’air ébouriffer ses cheveux blond.
* Je suis un fils de l’air, je suis un homme libre comme les nuages, un homme qui défie les lois de la pesanteur, l’air est mon élément, il m’appelle, il m’entraîne, air lève moi! *
Soudain, le vent le propulsa en hauteur. Mélo poussait des cris de joue, il riait, il était heureux d’avoir réussi. Maintenant, il se considérait comme un vrai maître de l’air.
Il rejoignit son maître en criant de joie. Lin, elle était heureuse que son tout premier disciple ait réussi à passer cette étape importante dans la vie d’un maître de l’air.
-C’était excellent Mélo, tu as réussi à parler avec l’air.
-On fait quoi maintenant. Disait-il tout exciter.
-Je crois que sa suffit pour aujourd’hui, on rentre à l’école.
Lin est Mélo rentrèrent tranquillement à l’école de l’air.
Sur le toit, un vieille homme attendait Lin et son disciple, il les accueilli chaleureusement et félicita Mélo. Lin salua son maître tendit que Mélo était parti voir ses camarades.
Le maître de Lin fit geste de la main a celle-ci pour qu’elle le suive.

Lin était une fille de l’air, elle avait de longs cheveux noirs et lisses et elle portait deux petites tâches noires au dessus des yeux, signe particulier des maîtres de l’air. En tan que fille de l’air, elle était fine et avait la capacité de voler sans planeur. Lin était orpheline, ses parents ont laissé la vie l’ors d’un éboulement qui c’était abattue sur leur demeure. Elle a toujours connue l’école de l’air, elle considère ce lieu et ces habitant comme sa deuxième famille. Lin se considère comme un génie de l’air, quand elle avait six, Lin avait déjà une maîtrise parfaite de l’air. A sept ans, elle volait comme un oiseau et à 16 ans son maître lui confit l’apprentissage de son tout premier disciple.
Le vieil homme et Lin traversaient de nombreux couloirs dont les murs étaient décorés de peinture représentant des maîtres de l’air. Ces peintures racontaient l’histoire de la création de Pangée, de l’esprit de l’air et des maîtres de l’air. Le vieil homme emmena Lin dans son bureau. Le bureau de celui-ci était simple, il y avait une simple table remplie de parchemin et une immense bibliothèque. Lin s’assit sur une des chaises en face de son maître puis attendit. Le vieil homme cassa le silence en premier.
-Mélo se porte bien à ce que j’ai vue. Disait le vieille homme lentement et en montrant le peut de dents qu’il lui restait.
-Oui maître, à merveille. Disait Lin toute joyeuse.
Le maître de Lin regarde son ancien disciple gravement.
Lin surpris par cette aire grave demanda.
-Ce n’est pas au sujet de Mélo que je suis ici.
-Effectivement, c’est au sujet de l’être de puissance.
Lin pris la même aire grave que son maître. Le vieil homme continua.
-Vous le saviez que les armées de l’être de puissance on détruit toutes l’écoles de l’air et tuer tout les maître de la partie sud de l’archipel sauf nous.
Lin ne répondit pas, elle devina à l’avance ce que son maître aller lui demander.
-Je dois surveiller le ciel? Demandait-elle.
-Exactement!
La fille de l’air se leva de sa chaise puis se dirigea vers la porte.
-Lin!
Elle se retourna.
-Oui maître?
-As-tu fait d’autre rêve sur l’esprit de l’air?
Lin regarda tristement son maître.
-Non maître. Disait elle avant de partir.



Le ciel, un monde où seul ceux qui arrivaient à défier la loi de la gravitation pouvaient y arriver. Les oiseaux étaient une partie de ceux qui vivait dans les airs. Il y avait aussi les nuages mais ceux là n’étaient pas vivant pour les non initié à la maîtrise de l’air mais de précieux messagers pour les maîtres de l’air.
Les nuages étaient les messagers du ciel et en même temps ceux qui provoquaient le mauvais temps. Ces masses cotonneuses étaient très importantes pour les maîtres de l’air. Ils pouvaient par exemple les prévenir que l’armée de l’être de puissance s’approchait dangereusement de leur île.
Pendant une semaine, presque tous les maîtres de l’air de NiWang scrutaient le ciel pour apercevoir quelque chose d’inhabituelle. Ils avaient raison de faire cela car le temps commençait à être orageux.
Tous les jeunes fils et filles de l’air sentaient que quelque chose n’allait pas mais leurs maîtres étaient gardés au secret.
Mélo demandait souvent à son maître pourquoi le temps était aussi orageux et qui se sentait mal. Lin lui répondit tout simplement que le ciel était capricieux et rien d’autre mais son jeune disciple n’en croyait pas un mot.
Plus les jours passaient plus le temps s’assombrissait. Des nuages noirs commençaient à recouvrir l’île et le vent apportait un mauvais présage, l’air sentait la fumée, la mort.
Un soir, Lin scrutait le ciel pour observer les étoiles mais celles-ci étaient cachées par cette nappe noire et pestilentielle. Privé de son activité favorite mais toujours rien sauf cette odeur nauséabond. Elle lança un grand soupir, bailla et quand elle voulu rejoindre son lit douillet elle vit le jeune Mélo qui avait décidé de faire une nuit blanche. En voyant son maître il s’approcha à toute vitesse vers elle l’air décidé d’avoir des réponse aux questions qu’il n’avait pas arrêter de lui demander. Arrivé devant son maître, il la fixa des yeux et lui demanda avec un ton ferme.
-Quand allez vous me dire la vérité maîtresse? Et n’essayait pas encor de me mentir je le saurai de toute façon.
Lin lâche un deuxième soupir, regarda le ciel puis lui dit calmement avec une vois de velours.
-Quelque chose de grave va bientôt arriver mais tu le sais déjà, elle fixa les yeux de Mélo puis continua, si une bataille éclate entre les maîtres de l’air et l’armée de l’être de puissance, je te conseil de te cacher comprit?
Mélo regarda son maître perdu, il voulu lui posé une question mais il savait déjà la réponse.
-Je croyais que les maîtres de l’air avait abandonné la voix de la violence et pris celle de la non violence. On pourrait discuter je sais pas moi…
-On ne discute pas avec se genre de créature, car ils ne sont pas humain, tous se qu’il connaissent c’est la haine et la joie de tuer, de sentir le sang couler sur leur visage. Se sont des être immonde dénué d’émotion. Elle attendit quelque minutes puis parti en laissant derrière elle son jeune disciple apeuré.

Le lendemain matin, le temps c’était aggravé, les nuages étaient toujours aussi noirs mais surtout un silence effroyable planait sur NiWang.
Soudain, un grondement venue du ciel rougeoya les nuages et une pierre enflammé venue de nulle part s’abatis sur la ville.
Des hurlements de peur réveillèrent tout les maîtres de l’air.
Tous les yeux fixèrent le ciel ou la mer. Sur l’eau calme, une dizaine de bateaux allaient accoster sur le petit port de NiWang. Dans les airs, des homme en noir chevauchant de terrible bête. Ces bêtes ressemblaient à des dragons mais s’en n’était pas. Leurs écailles couleur vert émeraude tâchées de sang leur donnaient un air sanguinaire, leur pointe de queue ressemblant a celle des scorpion étaient prête à injecter leur poison a qui conque essayèrent de les attaquer. Ces bêtes anciennes et puissante venue des profondeur des ténèbre. C’était avec ces créatures que l’être de puissance avait réussi à détruire presque tout les maîtres de l’air de l’hémisphère sud. Ce sont des wiverns.
Ces créatures saccageaient avec férocité la ville puis allèrent vers l’école de l’air en laissant derrière eux les soldat piller les restes des maisons et tuer les résistant.
C’est assoiffé de sang et tous excités que les cavaliers et leurs montures volèrent vers l’école.
En haut du mont des rêves, tous les maîtres de l’air attendaient calmement leur adversaire en prenant soin d’avoir oublier aucun de leur disciple a les envoyer en lieu sur.
Une bête écailleuse tourna tout autour de l’école pour un vif repérage des lieux. La même créature pour ouvrir la bataille cracha un jet d’acide sur un maître de l’air. Celui-ci réussi facilement à dévier la trajectoire de l’attaque par une bourrasque d’air vers une autre de ces créatures.
Tout les maîtres sautèrent dans le vide pour combattre, pour protéger leur île.
Lin encor sur le toit, déplie son éventail géant en provoquant un mini tempête autour d’elle. Elle regarda droit dans les yeux d’un wiverns aux ails rouges et troués. Se n’étaient pas un regard qui inspirait la colère mais plutôt un regard neutre que lançait Lin. On lui avait appris à se battre sans éprouver de la colère ou de la vengeance car cela leurs étaient interdit.
Au milieu du toit, la fille de l’air souleva son éventail au dessus de sa tête, inspira un grand coup et invita le wiverns à attaquer en premier.
Le cavalier croyant que l’adolescente voulait mourir ordonna sans réfléchir à sa monture de l’attaquer en lui fonçant dessus tête baissée. Lin, elle attendait sagement que la bête soit à sa portée pour attaquer.
Le cavalier et sa monture ne devinant pas les intention du maître de l’air foncèrent toujours jusqu’au moment où le cavalier remarqua le petit sourire de la fille de l’air, il avait tout compris mais c’était trop tard.
Trois lames d’air se dirigèrent vers le cavalier et sa monture, celui-ci ordonna à son wiverns de les esquiver mais la tête de la créature ne faisait déjà plus partie du corps. Les deux lames qui suivirent découpèrent le monstre et l’homme en noir en deux. « Ne jamais sous estimer un maître de l’air et sa vitesse de réaction » pensa-t-elle.
Lin regarda tomber les corps du monstre et de son cavalier coupé en deux tomber le long de la montagne. Elle ne remarqua pas le deuxième wiverns aller tout droit sur elle. Le monstre ouvrit sa gueule pour l’avaler, Lin, quant à elle évita l’attaque de justesse avec une acrobatie spectaculaire. Le monstre n’arriva qu’à remplir sa gueule de pierre. La fille de l’air sauta du haut du toit en maudissant son manque d’attention. Le monstre, encore plus enragé poursuivi Lin en lui crachant des jet d’acide mais celle-ci les évita avec facilité. Elle longea la parois du mont puis passa sous le museau d’un autre wiverns. Ils étaient maintenant deux à la pourchasser. En voyant ces poursuivant à écaille, elle prit de la hauteur. Quand elle arriva à hauteur désirée la fille de l’air plongea vers la mer. Derrière elle, ses poursuivant prenait du terrain et même ils se bousculèrent pour être le premier à l’attraper. Elle fit comme sur le toit, elle attendit que l’un des deux wiverns soient assez près d’elle pour attaquer. Quand elle sentit le souffle de l’un des deux wiverns sous ses pieds, elle se retourna brusquement en envoyant trois lames d’air grâce à son éventail. Le monstre les aient reçus de plein fouet. Lin entendit les os du wiverns craquaient sous le tranchant des lames, le monstre était maintenant décapité.
Le deuxième wiverns profita de la mort de son coéquipier pour attaquer en surprise. Il lança un coup de griffe, Lin essaya tan bien que mal à l’éviter mais sans succès. La griffe lui laissa une belle plaie sur le bras gauche. Le sang coulait à grosse goutte se qui excita de plus belle le monstre déjà assoiffé de sang.
La fille de l’air piqua vers de nouveau vers la mer, son bras lui faisait tellement souffrir qu’elle eu du mal à éviter les autres attaque du monstre.
La mer s’approcha d’elle à toute vitesse.
* C’est le moment * pensa-t-elle en commençant à se retourner.
Elle commença à déplier tan bien que mal son éventail quand une voix d’enfant l’arrêta net. En voyant le visage de l’enfant, elle fut terrorisée.
Une larme tomba sur sa peau de satin.

Dans le mont des rêves, une pièce sombre dont seule une petite fenêtre laissait passer la lumière qui celle-ci éclairait les visages apeurés des jeunes fils et filles de l’air. La pièce était assez grande pour abriter une centaine d’élèves terrorisés mais pas assez confortable pour les rassurer.
Les plus grands essayèrent de réconforter les plus petits mais en vain, leur voix les trahissait.
Mélo et une jeune fille aux cheveux bouclés châtain claire qui lui serrait le bras regardèrent tout les deux la batail à travers la fenêtre.
La petite Kiméra tremblait de peur et à chaque bruit ressemblant à celle d’une explosion elle poussait un petit cri aigu. Mélo avait aussi peur que son amie mais il se souciait aussi de l’état de son maître. Li la chercha du regard mais avec tout ces maîtres de l’air qui se battait, sa recherche révélait de l’impossible. Il ne vit plusieurs wiverns mourir décapités et d’autre la tête explosée par des sphères qui explosaient dés qu’ils touchaient un de ces monstres. Il vit aussi beaucoup des maîtres mourir en recevant de l’acide, soit décapités et même mangés pas ces affreuses bêtes. Des larme coulèrent sur ces joues en voyant ce massacre, il pensa un instant que son maître était peut être déjà plus de ce monde mais il renonça à cette pensé négative.
-Tu crois que nos maîtres vont réussir à repousser ces monstres? Intervint la petite Kiméra.
Mélo essuya ces yeux avant de regarder son amie et lui répondre.
-Oui, ils vont les repousser, ils vont repousser ces monstre horrible et dénoué de sentiment. Répondit-il avec vigueur.
Les deux amis regardèrent à nouveau le champ de batail. Rien n’avait changé. Quelque wiverns tombaient raide morts et idem pour les maîtres de l’air mais quelque chose attira le regard des deux enfants. Une fille de l’air plongeait vers la mer poursuivit par deux wiverns. Mélo reconnu tout de suite l’éventail géant de son maître.
-M…maître Lin…il faut aller l’aider. Dit-il en se précipitant vers la porte d’entrée mais une main l’agrippa: C’était Kiméra.
-Mais qu’est…tu n’as quand même pas l’intention d’aller là-bas?
Mélo avec un geste brusque poussa son amie et ferma la porte derrière lui.
-MELOOOOO. Cria Kiméra pour une dernière foi le prénom de son ami.

Dehors la bataille faisait rage, l’armée de l’être de puissance commençait à prendre le dessus. Les maîtres de l’air tombèrent un par un sous les yeux bleus de mélo mais il ne s’attarda pas sur cette triste scène. Il commença à chercher son maître et la trouva avec facilité, un éventail géant ne passe pas inaperçu. Il avança quelque mètre mais un wiverns l’attaqua. Il évita toutes les attaques du monstre quand soudain des lames d’air décapita son adversaire. Un maître de l’air s’approcha pour voir si Mélo n’avait rien et le fusilla du regard.
-Tu ne devrais pas être la, tu…
Mais le malheureux ne peut terminer sa phrase qu’un wiverns l’attrapa.
Mélo failli vomir à cette vue mais aussi à l’odeur de sang que dégageait le monstre.
Le jeune fils de l’air fonça de nouveau, essayant de ne pas trop se faire remarquer. Arrivé à quelques mètres de son maître, Mélo s’arrêta quand il vit Lin abattre l’un des deux wiverns. En voyant le deuxième monstre provoquer l’entaille au bras, le sentiment de la colère le submergea. En poussant un cri de guerre, il envoya trois petites lames d’air mais la bête bougea à ce moment la. En voyant son maître et la bête plonger vers la mer et il fit de même mais il n’était pas aussi rapide qu’eux.
Il hurla de colère puis plus rien, ces oreilles étaient devenue sourde mais son odora et sa vue avait changé. Il pouvait sentir le parfum des fleurs sauvages provenant du continent de la terre. Il pouvait voir chaque courant d’air et dire d’où ils venaient. Il s’aperçu que son corps était devenu aussi léger qu’une plume. Mélo remarqua aussi qu’il avançait plus vite et qu’il rattrapa le monstre qui celui-ci ouvrit la gueule en même temps que Lin se retournait. Soudait il se retrouva entre son maître et le monstre qui commençait à cracher un jet d’acide. Le malheureux reçu l’acide de plein fouet sur le dos, il laissa tombait une perle liquide sur les joues de son maître.

Lin n’en croyait pas ses yeux, Mélo son tout premier disciple qu’elle considérait comme son petit frère l’avait d’une mort plus que certaine. Elle le prit dans son bras blessé et avec un geste vif assomma le wiverns d’un coup d’éventail géant.
Lin retourna sur le toit de l’école et posa sur le ventre son jeune disciple grièvement blessé.
-J’ai mal et j’ai froid. Dit le jeune Mélo le souffle coupé.
-Se n’est rien, tout ira bien. Dit Lin en lui caressant la tête.
Elle examina le dos de Mélo et dégluti, l’acide avait déjà rongé la peau et avait bien attaqué les os et la chaire.
-Maître j’ai mal. Dit-il en pleurant.
Lin prit la tête de Mélo et la posa sur ses cuisses.
-Tu veux que je t’emmène dans un endroit que je connais?
-Est-il beau?
-Oui magnifique, là-bas-tu ne souffrira plus jamais, là-bas-tu vivras éternellement, tu ne connaîtras plus les soucis de se monde. Dit-elle à l’oreille de son jeune disciple mourant.
-Oui je veux y aller, ne vous tourmentez pas maître Lin de se que vous allez faire.
Lin en pleurant entoura la tête du jeune garçon et lui dit.
-Ferme tes beaux yeux bleus.
Elle regroupa tout son courage et sa force puis cassa le cou de Mélo.
Elle entendit l’os craquer et la vie s’échapper du corps du jeune fils de l’air. La fille de l’air tomba de chagrin, elle oublia les wiverns et son peuple qui se battait pour protéger leur peuple. Elle regarda le corps inerte de son jeune disciple puis ferma les yeux. Une personne atterri sur le toit et posa sa main sur l’épaule de Lin.
-Tu as bien fait mais je te conseil de partir tout de suite. Lui dit le vieil homme.
Elle exécuta l’ordre sans broncher, Lin avança jusqu’au rebord du toit, regarda pour une dernière fois le corps de Mélo puis sauta.

Le souvenir de la mort de Mélo restera gravé dans sa mémoire, elle pensera tous les jours à lui. Elle se retourna pour voir une dernière fois l’école mais tout ce qu’elle vit c’est le mont des rêves.


Dernière édition par Cassidi le Dim 1 Nov - 14:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'eau: une lueur d'espoir   L'eau: une lueur d'espoir EmptyVen 30 Oct - 12:35

la suite s'il te plais! Very Happy
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Cassidi

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MessageSujet: Chapitre 2: première partie.   L'eau: une lueur d'espoir EmptyDim 1 Nov - 14:42

Chapitre 2: Un nouveau départ


Sa faisait plusieurs jours que Lin survolait l’hémisphère sud de l’archipel. Elle était obligée de voler très haut dans le ciel la où l’oxygène se faisait rare pour ne pas se faire repérer pas l’armée de l’être de puissance. Depuis que NiWang a été conquit, l’hémisphère sud de l’archipel de l’air appartenait à l’être de puissance. Il n’y avait plus de trace des maîtres de l’air du sud sauf Lin qui était la dernière fille du vent du sud. Pendant une semaine elle resta dans les airs. Ce monde qu’elle croyait le plus paisible de tout les autres mondes jusqu’au jour où les monstres de cet être infâme de puissance son venu souillé ce monde par leur souffle puant la mort.
Les yeux de Lin, toujours noyés de larme par la tristesse commencèrent à se fermer, elle n’avait pas dormi depuis la batail. Elle résistait à la fatigue mais elle était à bout de force soudain elle aperçue une petite île éloignée des autres. C’était la dernière île de l’archipel avant de rentrer au pôle sud.
Sur cette île reposait une seule petite maison de chaume qui trônait sur une colline au milieu d’un petit bois.
Elle atterrie cinq mètres devant la maison, dés les pied posés à terre elle s’écroula. Avant de partir dans le monde des rêves, elle vit s’approcher une vieille femme coiffée d’un chignon.

Un son d’un liquide en ébullition, une musique provoquée par des tubes en bois, un parfum de légume flottant dans les airs, le son de bûches enflammées et une vague de chaleur sortie lin du pays des songes. Une énorme couverture en laine la recouvrait mais celle-ci l’enleva car elle lui tenait trop chaud. La fille de l’air s’assit au rebord du lit mais une douleur au bras lui échappa un petit crie. Elle regarde son bras blessé qui était enroulé dans une fine bande de tissu blanc. Elle examina le reste de son corps, quelques pansements était posé par ci par là, elle se dit qu’elle s’en était bien sortit par rapport à d’autres. Lin réussi à se mettre debout pour explorer les lieux mais dés qu’elle voulue faire un pas elle chancela puis tomba en arrière sur le lit. Elle se contenta d’observer la pièce par le regard. Lin remarqua que cette pièce était la seule de cette maisonnette au toit de chaume. Des objets divers et tous aussi curieux les un que les autres étaient dispersés par si par là dans l’unique pièce. Certains ressemblaient à des statuettes d’animaux en bois ou en métal, des carillons suspendus près de la porte provoquait une musique apaisante. Il y avait aussi des instruments de cuisine, des bassines et pleins d’autres objets. Des livres tous aussi énormes les un que les autres occupaient une immense bibliothèque. Les titres des livres étaient en or, Lin constata que ces ouvrages étaient rares. Des parchemins de toutes sortes étaient entassés un peut partout dans l’unique pièce. Elle leva la tête vers le toit de chaume et quelque chose attira son attention. Se n’était pas une seule chose mais plusieurs. Des bouquets de plantes séchées étaient suspendue, il y avait du thyms, de la lavande, deux bouquets de camomilles, des roses noirs et pleins d’autres plantes séchées qui dégageaient une odeur floral.
Dans le coin le plus sombre de l’unique pièce, un rideau violet était suspendue mais pas pour cacher une fenêtre. Lin avala une grande bouffée d’air puis souffla vers le rideau pour qu’il dévoile tout ces secrets. Des étagères remplies de fiole qui ceux-ci étaient remplient de substance étrange. Certaines fioles contenaient des animaux morts baigné dans un liquide des plus suspect. Soudain la porte d’entrée s’ouvrit, la musique des carillons devenait stressante, Lin se coucha dans le lit puis fit semblant de dormir. Elle entrouvrit un peut ses yeux pour voir qui allait rentrer: c’était une vieille dame âgée d’une quatre vingtaines d’années. Elle était vêtue d’une robe en lin violette décoloré et d’un poncho en laine angora noir. Ses cheveux étaient coiffés d’un chignon, quelques barrettes étaient accrochées sur le chignon. Ces barrettes ressemblaient à des fleurs, elles étaient en or et des émeraudes étaient incrustées au bord des pétales. Une barrette en argent attira le regard de Lin, cette barrette ressemblait à un dragon chinois, les yeux étaient des rubis d’un rouge éclatant et le corps était parsemé de diamant.
« Cette vieille dame devait être une personne très importante. » pensa Lin.
La vieille femme, les bras rempli de plante posa sa garnison sur la table puis s’assit sur un tabouret en face du chaudron pour remué son contenu qui devait être sur ment de la soupe.
Après quelques minutes de touillage, la vieille dame se tourna vers la table puis commença à triller les plantes en petit tas puis créa des petits bouquet de plantes. Grâce aux odeurs, Lin reconnu le laurier, la mante sauvage, l’odeur désagréable de la ciguë mais les odeurs des autres plantes lui étaient inconnues. Elle resta encor quelques minutes en faisant semblent de dormir et la vieille femme continuait à faire ses petits bouquets. Celle-ci jeta un petit coup d’œil vers Lin de temps en temps puis elle ricana.
-Je sais très bien que tu es réveillé, dit-elle en tournant sa tête vers le rideau violet puis ajouta en ricanant, c’est pas au vieux singe qu’on apprend a faire la grimace.
Lin attendit quelques minutes avant d’ouvrir les yeux et de s’asseoir au rebord du lit mais ne dit rien. Elle examina la personne âgée qui se tenait juste devant-elle, elle remarqua que celle-ci avait une œil bleu et l’autre aveugle.
Après que les bouquets soient terminés, la vieille femme alla chercher deux bols et deux cuillères, elle les rempli de la soupe puis donna un bol à Lin.
-Vas-y mange pour reprendre des forces et surtout avant qu’elle refroidit.
Mais Lin ne toucha même pas son bol.
La vieille dame baissa les yeux puis retenta sa chance.
-Je m’appelle Ava et toi?
Lin ne répondit pas et se fut ainsi que se déroula la soirée.
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Cassidi

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MessageSujet: Chapitre 2: deuxième partie   L'eau: une lueur d'espoir EmptySam 7 Nov - 15:25

Des corps étenduent sur le sol, le ciel noir aux nuages rougeoient, des corbeaux et des vautours volèrent en cercle. Le paysage était sombre, seul les dépouilles d’êtres humains, les oiseaux de la mort et les arbres sans vient peuplaient cette terre hostile. Des éclaires illuminèrent le ciel rouge en provoquant des sons assourdissant à faire trembler la terre. L’air était oppressante et puait la mort. La terre était rouge et grouillait d’asticot sur ment attiré par les corps en décompositions. Lin se tenait au milieu de tout ça, elle marchait sur les dépouilles les pieds bandés comme certaines parties de son corps. Les corbeaux venaient se poser sur son épaule pour lui picorer la tête, Lin s’en débarrassa d’un geste de la main. Elle continua à marcher sans savoir où aller comme si c’était la seule chose qu’elle pouvait faire. Soudain un cri strident retenti dans les airs, Lin connaissait très bien ce cri, elle leva la tête et vit apparaître un wiverns. Lin regarda la bête s’avancer, elle n’avait pas d’éventail à portée de main, elle commença à courir quand le monstre allait la gober. La bête s’écrasa au sol et Lin coura aussi vite qu’elle le pouvait. La bête se releva et d’un hurlement rageur traqua une nouvelle fois Lin, cette fois si il l’attaqua en lui lançant des jets d’acides. Lin réussi a les éviter mais soudain elle trébucha sur une pierre, elle atterri sur les corps en décomposition, elle vit entre deux doigt d’une main une fleur jaune. Elle la cueillit et la regarda plus intensivement, elle avait quatre pétales, sa couleur jaune virait à l’or et au bord des pétales des petits points verts rendaient cette fleur étrange et en même temps magnifique.
Lin regarda le wiverns s’approcher d’elle en hurlant de colère mais elle ne fit rien, elle regarda une nouvelle fois la fleur puis l’accrocha à ses cheveux. La bête ouvrit sa bouche et attrapa Lin mais au mieux de l’attraper la bête traversa la fille de l’air. Lin remarqua que par terre a l’endroit même où elle avait cueillit la fleur trois autres avait apparue, et si les plus petites choses aboutissaient à de grande chose, et si l’espoir et la force de volonté d’une personne pouvait changer le cour de l’histoire. Lin ne peut réfléchir car des mains l’arrachaient à son rêve.


Lin ouvrit les yeux, sa première vision fut les bouquets accrochés sur le toit de chaume, elle regarda autour d’elle, elle su par le biais d’une fenêtre qu’il faisait beau. Elle sentit que des mains lui touchaient les jambes, elle leva la tête et reconnue Ava qui était en train de changer ses bandages.
-Bonjour, quelle belle journée n’est-ce pas? Dit Ava en souriant.
Lin ne répondit pas, elle pensait encore au rêve qu’elle avait fait.
-Tu as bien dormi.
Lin ne répondit pas à nouveau. Ava, déçu, baissa les yeux, quand elle eu fini de changer les bandages de Lin, elle lui donna une pomme en guise de petit déjeuner. Ava retenta sa chance.
-Je sais que tu n’as pas envi de parler mais c’est pas comme sa que tu vas faire ton deuil, je sais que tu viens de NiWang et que tu es la seule survivante de la bataille qui c’est passé chez toi. Je te demande juste une chose, comment tu t’appelles?
Lin attendu quelques minutes, respira un bon coup et enfin elle décida de parler.
-Je m’appelle lin.
Ava regarda lin droit dans les yeux.
-C’est déjà un bon début Lin. Dit-elle avec un sourire.

Les oiseaux gazouillaient, le vent faisait chanter les arbres: ce jour si était une belle journée et lin allait en profiter pour penser à son avenir et au rêve qu’elle avait eu il y a trois jours.
Et oui, trois jours se sont écoulés depuis se rêve, trois jours où Lin était restée au lit à écouter une vieille dame qui la questionnait sans attendre une réponse de celle-ci.
Pendant ces trois jours, l’ambiance ne changea guère, la conversation s’arrêtait à des « Bonjours »; « bonne nuit »; « bonne appétit » et à des « oui » ou « non ».
Lin se lassait de la maisonnette au toit de chaume, elle était confinée dans des couvertures étouffantes, plus d’une foi elle avait envie de feuilleter l’un de ses bouquins qui mal traitaient la bibliothèque mais elle n’osait pas.
Le troisième jour fut moins ennuyant, Ava lui avait enlevé ses bandages définitivement et consacra le reste de la journée à réapprendre à Lin à marcher.
Pendant cette promenade de santé, Lin gambadait même si elle trébucha plusieurs foi à cause de cailloux, de branches ou d’énormes racines d’arbre. Elle avala une grande bouffée d’air, senti l'élément circuler dans tout son corps et la rejeta par la bouche en créant une petite brise.
Lin se dit comment elle a peut vivre sans respirer l’air de dehors pendant trois jours.
La fille de l’air regarda les nuages, elle avait envie de les survoler mais Ava lui avait interdit d’utiliser la maîtrise de l’air en tout cas pas maintenant. Lin s’engouffra dans les profondeurs du petit bois, la flore était impressionnante, une multitude d’arbre tous aussi différents les uns que les autres et c’était pareille pour les plantes. Quand le soleil se coucha pour laisser sa place à la lune et ces millions d’étoiles, Lin rentra. La maisonnette était embaumer d’une odeur alléchante qui déclancha des gargouillement dans l’estomac de Lin. En effet, Ava avait préparé un pot au feu et un tarte au abricot.
-C’est l’odeur de ma cuisine ou le fait que le soleil c’est couché? Dit Ava en servant Lin.
-Un peut des deux je crois.
Ava regarda Lin avec des yeux ébahis, la fille de l’air lui avait répondu.
-Tu m’as répondu… tu t’es enfin décidé de parler ou je me trompe.
Lin plongea ses yeux dans son plat et ignora la question de son interlocutrice qui celle-ci baissa les yeux déçu.
-Se n’est pas en restant muette que tu guériras Lin.
Lin étonnée était obligée de lui répondre.
-Guérir? Mais de quoi?
-Guérir ton cœur d’une blessure invisible dont le seul remède est de parler des causes de cette blessure, oui je veux tout savoir, je veux savoir ce qui c’est passé à NiWang.
Le regard de Lin toujours plongé dans son bol ne dit toujours rien ou plus tôt elle avait tan de chose à dire qu’elle ne savait pas par où commencer.
Elle regarda Ava, ouvrit la bouche mais aucun son n’y sortit, elle trembla de tous ses membres, ses yeux commencèrent à se noyer puis une main lui tendit un tissu blanc, Ava la regardait comme si elle comprenait sa tristesse.
-Commence par le début.
Lin pris le tissu, essuya ses yeux puis se calma.
-A NiWang, j’étais une des plus jeune a avoir eu un apprenti, il s’appelait Mélo, il avait réussi l’étape du saut, j’était heureuse qu’il est réussi cette épreuve, nous rentrâmes dans l’école quand mon maître m’appela. Il voulait me parler au sujet de l’armée de l’être de puissance, qu’elle s’approchait dangereusement de NiWang et qu’il ne fallait rien dire de tout cela aux jeunes filles et fils de l’air pour ne pas les inquiéter.
Pendant une semaine, tout les maîtres sauf les plus jeunes étaient sur le toit pour surveiller le ciel. Plus les jours passèrent plus le ciel devenait noir et l’air sentait la fumée. J’avais beau dire qu’il n’y avait rien mais mon disciple ne me croyait pas et il avait peur. Le matin de la batail, l’armée s’attaqua d’abord au villageois, nous, en haut du mont des rêves, on entendait les explosions, leurs crie de désespoir et de frayeur. Nous avons agi vite, j’ai envoyé les jeunes fils et filles de l’air dans une salle cachée de la montagne et ensuite je suis montée sur le toit avec les autres.
En entendant leur crie, j’avais peur de mourir, peur car c’était la première fois que j’allais me battre et surtout j’avais peur de ces monstruosité: ces wiverns. »
« Pendant la batail, j’ai vue les miens se faire tué, les wiverns étaient sans pitiés, j’ai failli être gobé plus d’une foie, j’ai était poursuivi, l’un d’entre eux avait réussi m’entailler le bras.
C’était affreux de voir tous les maîtres de l’air tomber mais le plus affreux sa était de voir Mélo mourir sous mes yeux. J’étais dans une posture assez critique, j’avais du mal a crée des lames d’air à cause de mon bras. J’allais me retourner pour attaquer le wivern qui me poursuivait et c’est la que je l’ai vu, Mélo était venu m’aider mais ce monstre avait ouvert sa gueule pour cracher de l’acide et malheureusement c’est mon pauvre disciple qui la reçu sur le dos. Je l’ai ramené dans l’école pour voir si je pouvais le soigner mais il était déjà trop tard, l’acide l’avait déjà presque tué. Il souffrait énormément donc je lui est abrégé ses souffrance ensuite je suis partie. J’ai voulu revoir l’école mais j’ai vu que le mont des rêves rien d’autre. J’ai tout perdu ».
Une main réconfortante lui caressa la tête.
-Je comprend se que tu ressens et je sais que c’est très dure de surmonter cette épreuve, j’en suis désoler.
Lin était figé comme une statue, en racontant se qu’elle avait vécu, le visage de Mélo torturé par la douleur réapparu dans ses pensée.
La fille de l’air repensa à ses rêves, Windi qui lui demande de l’aide, le paysage ressemblant à l’enfer dont seul une fleur donnant naissance à trois autres de ses plantes pouvaient changer le cours des choses.
-Ava j’ai quelque chose d’autre à vous dire.
La vielle femme regarda Lin puis attendit qu’elle commença son récit.
Lin raconta son rêve avec l’esprit de l’air: Windi. Elle raconta aussi le rêve des trois fleures qui ressemblaient étrangement aux barrettes de Ava.
Ava était surprise par ces aveux, Windi, l’esprit de l’air en personne avait apparu par le biais d’un rêve devant Lin et lui avait demandé de les aider eux les esprit. Était-ce un signe? Est-ce que d’autre maîtres rêvaient des esprits ou Lin était la seule?
« Impossible » pensa Ava « D’autre personnes rêvent des esprits si j’en crois les écrits des anciens ».
Ava observa Lin jusqu’à rendre celle-ci mal a l’aise puis la vieille femme se tourna vers la bibliothèque, prit un rouleau et commença a le lire dans sa tête.
La fille de l’air regarda Ava en se demandant bien qu’est-ce qu’elle pouvait bien lire. Elle observa les réactions de celle-ci, la surprise, la colère, la tristesse et la joie se dessinaient en même temps sur le visage de Ava.
Ava referma le rouleau puis le rangea sur la bibliothèque.
-Ava? Demanda Lin.
-Il est l’heure de se coucher.
-Mais?
-Fais ce que je te dis. Dit-elle sèchement.
Lin s’exécuta sans comprendre le changement de réaction de Ava.
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Cassidi

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MessageSujet: Chapitre 2: troisième partie   L'eau: une lueur d'espoir EmptyMer 11 Nov - 13:57

La nuit fut normale, aucun rêve cauchemardesque sauf le son d’une aiguille cousant du tissu. Elle entendu d’autre son insignifiant, des murmures, des frottement métalliques, les plissements des feuilles d’un livre sur ment. Soudain un bruit de verre brisé ensuite le bruit sourd d’un objet qui vient de tomber puis plus rien. Lin failli se réveiller mais ne fit rien puis se rendormi profondément. Elle n’entendu plus un bruit sauf celui du vent, une fenêtre était sur ment ouverte car elle senti l’odeur des fleurs qui se trouvait dans le bois. Plusieurs heures plus tard une odeur sucrée lui titilla les narines et le son d’une substance en ébullition la réveilla doucement, elle ouvrit avec prudence ses paupière pour que ses yeux s’habitus a la lumière du jour. Elle vit Ava en train de touiller sa substance qui sentait la compote de pomme.
Lin s’assit sur le rebord du lit et vit sur la table un objet noir qui lui était familier: son éventail.
Elle le prit, le déplia et regarda avec surprise le dessin qui était dessus, se dessin représentait un dragon chinois blanc aux yeux rouges sur volant quatre fleur de couleur or et avec des petit point vert au rebord des pétales.
-C’est magnifique. Murmura-t-elle en regardant l’éventail avec fascination.
-Je savais que sa allais te plaire. Dit-elle.
Lin sursauta.
-Excuse moi, j’espère que je ne t’ai pas réveillé cette nuit, j’avoue que j’ai fait un peut trop de bruit.
Lin souri, après avoir avalé son petit déjeuné elle prit son éventail, sorti dehors en courant suivi de Ava.
Lin inspira une grande bouffé d’air, la senti circuler dans tout son corps, l’expédia par la bouche puis ferma les yeux. Elle attendit qu’une brise lui caressa la peau, elle déplia son éventail et captura le courant d’air. Elle la rejette, les arbres dansèrent sous le contacte de la brise, des pétales de fleur et des feuilles mortes s’envolèrent avec la brise pour revenir sous une forme de sphère devant Lin. D’un coup d’éventail, la sphère de pétale et de feuille morte prirent l’apparence d’un dragon chinois, elle leva son éventail au dessus de sa tête et le dragon s’envola en embaument la maisonnette d’un odeur boisé et floral. Quand la créature arriva à une bonne altitude, la fille de l’air baissa son éventail et le dragon plongea dans le vide. La créature, quand elle fut au contacte du sol elle explosa pour réapparaître sous la forme d’un phénix dont les plus grandes plumes entouraient la maisonnette. Cette foi ci la créature n’avait pas la même odeur, son parfum était plus épicé, certainement pour rappeler le feu. Le phénix s’envola, Lin agita son éventail et l’oiseau explosa pour faire apparaître dix oiseaux.
-Magnifique. S’exclama Ava.
Les paroles de la vieille femme fit sursauter Lin et qui en même temps fit tomber les pétales de fleurs et les feuilles mortes part terre.
-Oh! Je suis désolée, je voilait pas te déconcentrer. Dit Ava.
-Ce n’est pas grave de toute façon j’allais arrêter. Dit Lin en dépliant son éventail.
Le reste de la matinée, Ava termina de coudre une manche sur une veste épaisse et Lin observa toujours avec fascination le dessin sur l’éventail. Soudain, Lin se demanda pourquoi Ava dessiné les quatre fleurs de couleur or et le dragon.
-Ava, pourquoi avoir dessiné ceci sur mon éventail. Dit-elle en montrant l’illustration.
La vieille femme arrêta sa couture puis répond.
-Les quatre fleurs c’est pour te r’appeler la mission que ta donné l’esprit de l’air qui consiste a les sauver et le dragon blanc, c’est parce que j’aime bien les dragons. Dit-elle en caressant sa barrette en forme de dragon.
Lin ne fit plus un geste, elle ne comprenait pas pourquoi elle avait employé le terme « mission ».
-Je ne vous comprends pas Ava, une mission?
La vieille femme regarda Lin d’un aire grave qui celle-ci se senti mal à l’aise.
-Tu ne t’es pas demandées pourquoi Windi ta demandé de l’aide?
-Non, pourquoi?
Ava soupira.
-Windi ta confié une mission de la plus haute importance: les libérer.
-Mais je n’ai rêvé que de Windi.
-C’est normal tu n’es qu’un maître de l’air.
-Mais alors comment?
-Je te conseil de bien m’écouter est ensuite tu devras suivre à la lettre mes instruction. Tu devras aller au pôle Sud c’est pour sa que je t’es cousu une veste et d’autre vêtements chaud ensuite tu devras te rendre à Minorie, la route sera rude car il fait extrêmement froid, quand tu seras arrivée à Minorie tu devras chercher un maître de l’eau qui rêve de Wateur et idem pour les autres maîtres bien sur. Ensuit tu devras te rendre dans la deuxième île du peuple du feu et te rendre dans la capitale qui est Cendréa, fait attention à l’empereur de cette île, il a pactisé avec l’être de puissance, là-bas-tu devras trouver un maître du feu mais sa ne sera pas simple mais sa tu le comprendra quand tu seras là-bas. Le dernier maître sera très difficile à trouver car tu devras te rendre dans l’ancienne capitale du peuple de la terre: Terra. Elle se trouve sous terre, il n’y a que là-bas que tu trouveras le maître de terre mais fait très attention se peuple risque de pas te prendre au sérieux. A Terra tu ne trouveras pas que des maîtres de la terre, cette ville sert de refuge pour les autres maîtres et les rescapés des batailles. Quand tu auras libéré les esprits tu te rendras sur l’île qui se trouve à l’Est du pôle Nord, c’est là-bas qu’habite l’être de puissance mais ce n’est pas toi qui le détruiras, tu n’es pas assez puissante. L’île est composé de quatre partie qui représente un élément, toi tu devras rester dans la partie de l’air ne me demande pas pourquoi car je ne sais pas. La route sera longue et périeuse mais tu y arriveras.
Lin ne dit rien, elle se sentait incapable de faire cela et pourquoi Windi l’avait choisi elle?
-Ava…je…je sais pas si…
-C’est bien l’armée de l’être de puissance qui a exterminé tout ceux que tu aimais, fait le au moins pour Mélo. Dit Ava en s’énervant.
La fille de l’air baissa la tête puis repensa à la bataille, au sacrifice de son jeune disciple, Ava avait raison elle devait le faire, pour Mélo et pour les quatre peuples.
-Quand devrais-je partir?
Ava laissa tomber sa mine grave pour prendre une expression plus douce.
-Le plus tôt possible.

Après le repas de midi, Ava consacra une bonne heure à préparer un sac pour Lin qui celle-ci était dehors en train d’observer la mer.
« Le pôle Sud, c’est pas la porte a côté » pensa-t-elle.
Lin avait mis les vêtements que Ava lui avait cousus.
« Effectivement ils son chaud »
Elle agita plusieurs foi son éventail puis trouva un système pour l’accrocher sur son dos. La fille de l’air observa le ciel, aucune tempête à l’horizon, le voyage n’allait pas être aussi désagréable puis elle se prépara mentalement. Le voyage allait durer deux jours et deux nuits, ce n’était rien comparé à la semaine après la bataille.
-Lin. Appela Ava.
La fille de l’air se dirigea vers la maisonnette, Ava lui donna le sac, Lin le plaça sur son dos au dessus de son éventail.
-Merci Ava pour tout se que vous avez fait pour moi. Dit Lin les yeux larmoyant.
-Arrête de pleurer autrement moi aussi je vais verser des larme. Dit-elle en enlaçant Lin.
La fille de l’air s’écarta de la vieille femme puis respira un grand coup et ses pied se décolèrent du sol. Lin regarda une dernière foi Ava puis disparue entre les nuages.
-Bonne chance Lin fille de l’air.
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Cassidi

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MessageSujet: Chapitre 3: première partie   L'eau: une lueur d'espoir EmptyDim 22 Nov - 12:55

Chapitre 3: Le Pôle Sud.


Un ciel bleu, des nuages blancs, une brise agréable mais fraîche, les rayons du soleil illuminant les horizons, pendant deux jours le temps fut ensoleillé et le voyage pas si agréable qu’espérait Lin.
Les deux premières heures après le départ fussent terriblement agréable, Lin s’ennuya, pas une seule rafale de vent juste une brise légère. La seule distraction qu’elle est eue pendant ces deux heures fut une bande de dauphin faisant des pirouettes hors de l’eau. Elle en profita pour jouer avec eu, elle passa en dessous d’eux pendant leur saut mais soudain ils partirent vers les profondeurs de l’océan. Une odeur nauséabonde brûla ses narines et elle vit plusieurs ombres reflétés à la surface de l’eau. Lin leva la tête et vit des créatures qu’elle aurait aimé oublié à tout jamais: les wiverns. Ils étaient dix, les wiverns étaient tous noir sauf un qui devait être le chef d’équipe. Ce wivern avait les écailles noires mais la membrane de ses deux ailes était de couleur rouge sang, les cavaliers portaient tous le même long manteau noir dont la capuche couvrait leur visage.
La fille de l’air pria pour que les wiverns ne s’aperçoivent pas de son existence, elle arrêta de réspirer, elle les virent s’éloigner puis elle respira de nouveau en lâchant un «ouf » muet. Soudain un dauphin sauta hors de l’eau et plongea dans l’océan en éclaboussant Lin. La fille de l’air s’essuya le visage puis regarda les wiverns, une expression de terreur s’afficha sur son visage. Le wivern noir et rouge retourna sa tête pour identifier le bruit d’éclaboussement et vit la fille de l’air, la créature lança son crie strident et fonça vers Lin suivi des neuf autres wiverns.
« Ils sont beaucoup trop nombreux » pensa-t-elle.
Lin se sauva en rasant la surface de l’eau, elle vola le plus vite possible mais pas assez, les wiverns la rattrapèrent facilement. L’un d’entre eux plongea vers la fille de l’air la gueule grande ouverte, il était arrivé à quelques centimètres du corps de Lin mais celle-ci fut plus vive que la créature. Le wivern allait fermer sa gueule que Lin s’écarta, la créature pris en pleine face la paroi d’eau et s’enfonça dedans, le cavalier wivern ordonna à sa monture de décoller mais une mâchoire enfonça ses dents dans le ventre du monstre. Un megalodon de quinze mètres de long emporta son dîner dans les profondeurs abyssal.
« Manger ou être manger, tel est la dur loi de la vie » pensa-t-elle en voyant l’eau rougi par le sang.
Les autres wiverns hésitèrent à attaquer peur que le megalodon revient à la charge. Lin en profita pour s’enfuir à toute vitesse suivie par le regard de la créature noir et rouge.
La fille de l’air fila à toute vitesse sans regarder derrière elle, Lin avait le pressentiment qu’elle allait les revoir dans pas longtemps.

Le soleil se coucha en donnant une couleur orangée au ciel et Lin volait en altitude peur de se faire dévorer par un prédateur marin. La fille de l’air n’avait pas ralenti, elle avait peur, elle sursautait au moindre bruit, elle était en état de stresse. Les minutes passèrent et aucun de ses monstres dans les parages mais Lin avait la certitude qu’ils la suivaient, leur odeur nauséabonde planait toujours dans l’air. Le ciel était noir et étoilé, la lune était brillante et la mer calme mais cela ne suffisait pas à calmer Lin. La fille de l’air n’entendait que le vent qui lui était aussi calme que pendant l’après midi. Ses paupières se fermèrent mais soudain une ombre fila à la surface de l’eau se qui la mis en alerte. Elle pris son éventail mais ne le déplia pas, elle baissa en altitude pour être à un mètre de la surface de la paroi d’eau et regarda le ciel. En haut, très en haut dans le ciel, elle vit les wiverns, ils étaient huit, Lin commença à déplier son éventail mais elle remarqua quelque chose d’étrange, les montres ne l’attaquaient pas et ils étaient que huit.
La fille de l’air chercha du regard le neuvième wiverns mais rien dans le ciel.
« Et si l’ombre sur l’eau c’était… » Pensa-t-elle en regardant la surface de la mer.
Elle vit une silhouette noir venant des profondeurs s’avancer vers elle. Lin pris tout de suite de la hauteur et vit le neuvième monstre sortir de l’océan la gueule prête a déchiqueter tout se qu’elle trouve. Lin déplia son éventail et créa trois énormes lames d’air qui découpa la créature en trois parties égales.
Un cri retenti et un jet d’acide venant du groupe des wiverns brûla la chaire du monstre décapité. Lin essaya de se sauver mais un autre jet d’acide fut envoyer prenant comme cible la fille de l’air qui celle-ci agita son éventail pour crée un courant d’air. La trajectoire de l’acide fut dévié vers un autre de ces monstre qui le reçu en plein dans le ventre mais cette manœuvre laissa le temps à un autre wivern de se poster juste derrière Lin.
La fille de l’air se retourna et vit le monstre se jeter sur elle mais soudain une chose argentée se planta profondément dans la gorge de la créature.
Le wivern tomba raide mort dans l’océan puis un être mi femme mi poisson repris son arme qui avait la forme d’un trident et regarda Lin droit dans les yeux. La sirène avait les cheveux roux, ses yeux étaient d’un vert émeraude éclatant, sa peau pâle dont quelques écailles orange y étaient incrustées reflétaient les rayons de la lune. D’autre de ses créatures mi femme mi poisson apparurent à côté de la sirène aux cheveux roux, le trident à la main prêtent à attaquer les wiverns.
-Élue de Windi, nous somme ici pour te protéger l’hors de ta traversé. Dit la sirène aux écailles orange avec une voix ressemblant à un murmure.
Un wivern chargea vers les sirènes mais deux tridents s’enfoncèrent dans sa gorge.
-Fille de l’air vas-t-en, nous allons leur faire payer de voler au dessus de ces eaux et de t’avoir poursuivit. Murmura une sirène aux cheveux aussi blancs que la neige.
Lin commença à partir mais trouvait sa lâche de les abandonner et puis elle se sentait redevable, c’étaient quand même eux qui l’avaient sauvé.
-Non je reste avec vous pour vous aider.
Une sirène à la chevelure noire soupira.
Le cavalier chevauchant le wivern noir et rouge parla au sirène dans une langue que Lin ne connaissait pas mais devina que ses parole ressemblait à une menace en écoutant les grognements de ces dernières.
Voyant que les sirènes ne disaient rien, le cavalier ordonna à ces coéquipiers d’attaquer, deux d’entre eux chargèrent mais quatre tridents eurent raison d’eux. La fille de l’air passa entre les corps sans vie des deux monstres qui tombaient pour décapiter les deux autres wiverns juste derrières ceux qui étaient morts. Le chef d’équipe voyant qu’ils étaient inférieurs en nombre préféra réagir intelligemment que de foncer tête baissée vers la mort. Le wivern noir et rouge émit un sifflement et les trois wiverns partirent puis il lança un sifflement d’avertissement au sirène qui celles-ci répondirent en lui lançant un trident qui atterri sur la cuisse gauche du monstre qui lâcha un cri de douleur avant de partir.
Lin regarda les cinq wiverns partirent vers le nord puis descendit en direction des sirènes pour les remercier mais celles-ci étaient préoccupées à noyer les cavaliers, seule la sirène au cheveux roux était restée.
- Je ne sais pas comment vous remercier de m’avoir sauvé la vie. Dit-elle en prenant la main de la sirène.
-Tu as déjà fait beaucoup en nous aidant, nous te suivrons jusqu’ à que tu sois arrivée au pôle Sud.
-Merci, mais il me reste combien de kilomètre avant d’y arriver.
-Tu as fait plus de la moitié de la route, si tu voles à la même vitesse que aujourd’hui tu arriveras là-bas demain au milieu de l’après midi.
« Demain! Déjà! J’ai volé aussi vite que sa! » Pensa-t-elle.
Elle opina de la tête puis repartie suivi cette foi si par les sirènes.
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MessageSujet: Chapitre 3: deuxième partie   L'eau: une lueur d'espoir EmptyJeu 26 Nov - 20:39

Le lendemain, la traversée de l’océan pour aller au pôle sud fut tranquille. La fille de l’air était escortée par les sirènes de la veille, celles qui l’avaient sauvés des cavaliers, rien quand sachant leur présence près d’elle, Lin se sentait en sécurité. Pour s’occuper, car le voyage était monotone elle essaya de faire parler les sirène qui celles-ci n’étaient pas très causante, seule la femme poisson aux cheveux roux lui parla. Elle sue d’elle qu’elle s’appelait Azilis, qu’elle était la fille d’une bijoutière et d’un soldat du roi des mers nordiques, elle lui révéla qu’elles venaient tous du nord et que là-bas la guerre faisait rage. Lin appris aussi que les maîtres de l’air de l’hémisphère du nord grâce au brouillard ils arrivaient à repousser l’envahisseur et que le peuple de l’eau regroupait une partie de son armée pour aller aider les maîtres de l’air.
-Azilis, puis-je vous poser une question?
-Bien sur élue de Windi.
-Juste une chose avant, pouvez-vous arrêter de m’appeler élue de Windi, je veux que vous m’appeliez par mon prénoms qui est Lin.
-D’accord Lin mais en échange je veux que tu arrêtes de me vouvoyer compris?
Lin répondis à la sirène en lui affichant un sourire timide.
-Azilis, est-ce qu’il y a des maîtres de l’eau à Minorie?
-Oui mais ils se cachent, quand tu seras à Minorie tu devras chercher le bon maître de l’eau, l’élu de Wateur.
-Mais comment le trouver, je ne peux pas deviner qui rêve de quoi.
-A toi de le trouver.
Elle plongea dans les profondeurs de l’océans pour rejoindre le reste de sa bande.
L’air se faisait de plus en plus fraîche et quelques plaques de glaces flottaient sur l’eau. Au loin, Lin voyait une grande étendu de blanc, elle était bientôt arrivée à destination et heureusement, le soleil commençait à se coucher en rendant le ciel orange.
Les sirènes s’arrêtèrent à cause de la glace et puis de toute façon elles étaient arrivé à destination, leur mission s’arrêtait là.
Lin, depuis la terre ferme, salua les sirènes qui seule Azilis lui rendu son salue puis la fille de l’air commença à s’enfoncer dans l’immense étendu de blanc.

Le soleil s’était couché pour laisser la lune dominer au dessus d’un igloo où une fille de l’air grelottais. Le froid réussissait à traverser les vêtements chaud de Lin pour lui mordre sa peau. Elle sorti de son abri de fortune fait de neige et contempla les étoiles. Lin resta longtemps à les contempler, elle cherchait celle qui représentait l’âme de Mélo car pour elle chaque personne avait une étoile qui les protégeaient même après leurs morts. Soudain quelque chose que Lin n’avait jamais vue apparu dans le ciel. Un serpent multicolore traversait l’océan d’étoiles. La fille de l’air lâcha une larme de joie tellement que le spectacle qu’elle venait de voir était magnifique.
Un vent sec, une terre aride, un soleil de plomb et une tour de terre. Il ou Elle avance vers cette immense monument de terre, cette personne ouvre la porte et comme poussé par une force inconnue , Il ou Elle commença à monter le gigantesque escalier en colimaçon. Cette être humain regardait les inscriptions étranges de couleurs rouges qui décoraient le mur de la tour. L’être toucha les signes et senti quelque chose de poisseux sous ses doigts et remarque qu’ils étaient tachés d’une sorte de liquide rouge. Avant de mettre ses doigts sous son nez cette être pensait que c’était de la peinture mais l’odeur qu’il en dégageait n’était pas celle de la peinture mais celui du sang . Cette personne continua son ascension toujours poussé par cette force inconnue. Arrivé au sommet de la tour, Il ou Elle trouva une énorme sphère de terre remplie des mêmes inscription que sur les murs. La personne s’avança vers la sphère puis la toucha, soudain Il ou Elle senti un cœur battre à l’intérieure de cette prison, les marques de sang commencèrent à émettre de la lumière, l’être fut comme expulsé de la tour mais Il ou Elle réussi à entendre une voix faible et suppliante.
« Aide moi! »


Lin se réveilla frigorifié mais heureusement pas transformée en glaçon. Elle sorti de son igloo, à cause de la clarté de soleil, la fille de l’air fut ébloui et ne pu ouvrir ses yeux qu’après une bonne minute. Enfin elle pouvait contempler le pôle sud mais se n’était pas très différent de se qu’elle imaginait, tout était blanc, pas une seule plante, ni un carré de verdure vivait dans se paysage où la neige règne en maître. Lin se demandait bien comment des tribus d’être humain pouvaient vivre dans ces régions hostiles entourés de bêtes sauvages. Elles ne s’attarda pas trop sur la question et se mis en route vers le village de Minorie où elle devait trouver le maître de l’eau.
La région était désertique et très difficile à traverser, à cause du froid Lin ralentissait à fur et à mesure qu’elle avançait. Elle senti ses yeux se fermer, elle se donnait des claque pour ne pas dormir, soudain une main venant du sol lui pris le pied et la fit tomber. De la neige sorti une personne qui se mis sur elle pour qu’elle ne s’échappe pas et la menaça avec un couteau de chasse au cou et lui dit:
-Qui es-tu? Que fais-tu ici? Qu’est-ce que tu cherche?
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MessageSujet: Chapitre 4: Etre ou ne pas Etre   L'eau: une lueur d'espoir EmptyMer 20 Jan - 18:03

Dans l’immense étendu de blanc, trois ourspons (créature mi ours mi poisson) regardaient les deux adolescents en espérant que l’un d’entre eux y laissera la vie car un des deux menaçait l’autre d’un poignard.
-Alors tu répond ou il faut que je te fais montrer la couleur de ton sang. Menaçait-il la fille de l’air avec une voix perçante.
Lin dégluti, elle pensa à le projeter dans les airs puis s’enfuir mais quand elle examina les vêtement de son agresseur quelque chose lui dit qu’il savait où se trouvait Minorie.
-Je m’appelle Lin, je suis une fille de l’air du sud, je veux me rendre à Minorie pour trouver un maître de l’eau.
L’adolescent enleva la moufle en peau de bête de sa ma droite et commença à frotter durement sur le front de Lin. Il y découvrit avec stupeur les deux points argenté au dessus des yeux de la fille de l’air, soudain le garçon la libéra puis la regarda avec un air surpris.
-Eh! Mais c’est pas des mensonges que tu viens de raconter, tu es bien un maître de l’air et moi qui croyais que tu faisais partie de l’armée de se cinglé qui se prend pour le maître du monde juste parce qu’il est capable de maîtriser les quatre éléments.
Il l’aida à se relever et Lin aperçu les trois ourspon en se demandant bien qu’est-ce que sa pouvaient bien être.
-Heu…c’est quoi ces choses? Demanda Lin.
-Se sont des ourspons, tu n’as pas à craindre d’eux sur la terre ferme mais dans l’eau il vaut mieux que tu saches bien nager et surtout si tu ne veux pas finir dans leur menu, ah au faite je m’appelle Koakou, il lui tend la main et Lin la lui serra puis l’adolescent repris, mon village se trouve à vingt minutes de marche bien sur si on suit mon rythme.
Les trois ourspons regardèrent les deux jeune gens partir, se ne sera pas encor aujourd’hui que l’être humain sera marqué dans leur menu.
Pendant le trajet, la fille de l’air examina Koakou sur toutes les coutures. L’adolescent avait la peau bronzée et des yeux d’un bleu éclatant, ses cheveux coiffés en dread étaient de couleur châtain foncé. Il était habillé en peau de bête mais lin regardais attentivement son visage à la recherche de la marque qui désigne un maître de l’eau: les vagues au milieu du visage entre les deux yeux et le nez. Koakou, lui, était fasciné par Lin, c’était la première foi qu’il voyait un maître de l’air qui malheureusement à cause du froid claquait des dents.
-Plus je te regarde et plus je me dis que tu as de la chance que je t’ai trouvé vue comment tu es vêtue après deux jours ici je t’aurais sur ment trouvé transformé en glaçon…tien regarde là-bas, se sont les remparts de neige de mon village, voila tu es arrivés à Minorie.
Les remparts se r’approchèrent de plus en plus à fur et à mesure que les deux jeunes gens avançaient. Ces murs de neige n’était pas bien grande, en les touchant, Lin remarqua que ces remparts n’étaient pas solides, une simple lame d’air réussirait à créer une ouverture. Au dessus de la porte principale, le signe du peuple de l’eau était gravé dans la neige, deux gardes armés chacun d’une lance faite en megalodon gardaient la faible porte en bois. Les deux gardes ouvrirent la porte puis saluèrent Koakou, leur regards se posèrent sur la fille de l’air et sur ses deux points argentés au dessus de ses yeux. Ils la regardèrent comme si c’était une bêtes étrange, un être inconnu, une créature peuplant les mythes et les légendes entourant se monde. Elle rentra dans le village gêné par l’effet qu’elle donne à ces deux gardes. Le village de Minorie n’était pas une grande et belle ville de glace comme Lin avait l’habitude d’entendre sur celle du peuple de l’eau mais plus tôt un petit village de neige modeste. L’architecture de se village ce limitait qu’aux igloo et à la tour de garde qui était le seule bâtiment fait de glace. Les villageois étaient tous habillés de peau de bête, certainement le meilleur vêtement pour résister à ces température glaciale. Leur peau étaient tous bronzées et ils avaient les même cheveux noir ou châtain foncé. Les habitants de Minorie regardaient avec des yeux curieux Lin accompagnée de Koakou traverser le village. Lin se demandait bien qui de tout ces villageois pouvait être le maître de l’eau qu’elle cherchait mais aucun possédaient la marque. Une main lui agrippa une poigné de ses cheveux et tira dessus, la fille de l’air poussa un petit cri puis se retourna violemment. C’était une fillette aux yeux d’un bleu saphir profond qui avait fait se geste, la gamine pris peur et alla se réfugier derrière sa mère. Koakou, lui ne pouvait pas s’empêcher de glousser se qui énerva Lin profondément. Un igloo beaucoup plus grand que les autres et dont l’entrée était décoré d’un ornement en glace et en dents et défenses de bêtes leur faisaient face.
-Je crois comprendre que c’est là la demeure de ton chef. Dit-elle en pointant du doigt l’igloo.
Koakou ne disait rien, il restait figé sur place donc Lin compris qu’elle devait y aller seule, elle rentra à quatre pattes tellement que l’entrée était petite, elle eu une sensation de douceur quand ses main touchèrent le sol de l’igloo en effet de la fourrure recouvrait toute la surface. Au milieu de l’unique pièce était allumé un feu et derrière se feu était assis un homme au trait dur portant une barbe divisé en deux petite tresses. Rien sur lui montrait qu’on lui avait donné la responsabilité de dirigé se village en effet il ressemblait à aux autres villageois.
L’homme l’observa comme l’avait fait les deux gardes.
-Je me nomme Kogan, je suis le chef de se village, comment te nommes-tu et que viens-tu faire dans un endroit aussi hostile que celui-ci. Dit-il d’une voix guttural.
L’adolescente s’assit en face du feu avant de lui répondre:
-Je suis Lin, une fille de l’air du sud à qui on ma chargé d’une mission de la plus haute importance, je suis venue ici pour trouver un maître de l’eau qui rêve de Water pour le libérer. Dit-elle avec fermeté.
Kogan caressa sa barbe puis laissa échapper un petit rire.
-Les maître de l’eau de se village on tous étaient exterminé, depuis se jour nous croyons plus a l’existence de cette esprit et voyez vous depuis qu’on a accepté notre domination par cette être de puissance nous vivons tranquillement et là vous venez dans mon village nous dire que vous cherchez un maître de l’eau qui plus est rêve d’un esprit que nous croyons plus à son existence! Tss laissait moi rire.
-J’en suis sûr qu’il y a des maîtres de l’eau dans ce village.
-Ah! Et qui vous à dit cette information complètement absurde.
-Une femme du nom de Ava, c’est elle qui ma dit d’aller dans votre village pour le ou la trouver.
-Tsss et vous avez cru les paroles de cette femme!
Le chef éclata de rire et la fille de l’air compris son comportement comme si il insultait Ava de folle.
-Se n’est pas la seule à me dire qu’il reste des maîtres de l’eau dans votre village, pendant que j’ai traversé la mer pour venir ici j’ai été escorté par des sirènes des mer du nord et figurez-vous que l’une d’entre elles ma affirmé qu’ils en restaient quelques un mais qu’ils se cachaient. Dit-elle d’une voix amère.
Le chef de Minorie plissa les yeux et un son venant de sa gorge retentit.
-Mademoiselle heu…j…j’ai bien peur qu…qu…que cette sirène vous est trompée. Bégayait-il.
Lin commença à trembler d’énervement, elle aurait bien voulu exploser de colère mais cela était contraire à ce que son maître lui avait appris. Elle respira une grande bouffé d’air pour calmer ses nerf puis s’approcha du feu tout en lançant un regard perçant à Kogan puis lui lança d’une voix assuré:
-Si il n’y avait vraiment pas de maître de l’eau dans votre village alors pourquoi Ava m’aurait envoyé ici? Pourquoi les sirènes m’auraient escorté jusqu’ici? Est-ce que vous avez une réponse à ces questions?
Kogan grommela sous sa barbe, il regarda tout autour de lui ne pouvant plus maintenir son regard sur les yeux perçants de la fille de l’air.
-Je suppose que vous resteriez ici jusqu’au moment où vous aurez enfin trouvé se fameux maître de l’eau.
L’homme réussi a voir le sourire de l’adolescente à travers le feu puis recommença à grommeler.
-Si vous restez ici il vous faut de quoi dormir, je ne doute pas de l’hospitalité des habitants….
Il n’avait pas fini sa phrase qu’il commençait déjà à réfléchir.
-Koakou! Cria-t-il d’une voix rauque.
Le garçon entra dans l’igloo de son chef sans comprendre pourquoi celui-ci l’avait appelé.
-Comme c’est toi qui a ramené cette fille de l’air, Koakou se sera toi qui la logera pendant son séjour ici.
Koakou fit une grimace et Lin se retourna en lui affichant un grand sourire.
-Mais…mais…ch…chef vous ne pouvez pas me faire sa après tous ce qu’on a vécu ensemble, vous êtes les grand chef de Minorie, la terreur de ces terre de glace, vous êtes mon chef préféré. Dit-il en essayant de l’amadouer.
Derrière le feu Kogan lança un regard assassin à Koakou qui celui-ci dégluti.
-Mais chef….bon d’accord. Se résigna-t-il.
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